T'es qui toi ?
Chiwiii(e)s
Day by day
Don't cry baby bitch
Blablabla
Lissadell : Pourquoi ?
stupidchick : si tu ne veux pas de commentaires.
Lissadell : Quand je n'en veux pas je les bloque. Don't worry. :)
myna6738 : "Oh comment tu es moche! J'te bloque!"
myna6738 : Lissadell, c'est un peu le Clément le No life des commentaires, elle accepte que les porsche.
Lissadell : Comment t'es méchante !
Kei : C'est beeeaaaaaau !
myna6738 : J'suis pas méchante! C'est un compliment :)
Lissadell : Non tu me compares à un petit con ridicule !
Lissadell : (Oui c'est beau !)
Mamzelle : Bonne année! :)
Lissadell : Bonne année oui. :)
Oser, le progrès est à ce prix...
C'est bizarre mais quand j'ai trop mangé je suis moins productive. Enfin pour écrire. En fait il faut une sensation de manque, de vide, pour que tout se mette en place et que je ne puisse plus arrêter d'aligner les mots.
Mais j'ai terriblement envie d'écrire quand même. Je me demande tout le temps si je ne vais pas gâcher trois mois à bosser au macdo, alors qu'objectivement c'est tout bénéf, j'aurai encore du temps pour faire des choses, comme voir des amis ou trouver un appart, prendre mes heures de conduite, et y aura de l'argent au bout. Mais je ne sais pas ce qui m'inquiète. Peut-être tout simplement l'impression de ne jamais être véritablement à ma place. Comme si on m'avait engagée sur un malentendu, comme si personne ne s'intéressait vraiment à moi. Ce qui implique que j'ai l'impression que personne ne me prendra en charge là-bas, que je n'ai pas une tête à être à la caisse, que je m'en sortirai pas.
Mais ça s'applique partout ça. Je me sens jamais à ma place avec les gens. L'impression d'être de trop, de décevoir parce que je donne moi que ce qu'il faudra, comme si je m'étais engagée à faire quelque chose dont j'étais incapable. Comme de soutenir une conversation vraiment intime, enfin, de montrer que je suis là, vraiment là. J'ai l'impression d'être absente, dans mes rapports sociaux. Mais ce qui m'ennuie, c'est que c'est très récent. Je n'étais pas comme ça avant. Je m'impliquais à fond avec les gens qui m'intéressaient, je faisais tout pour qu'on devienne amis. Maintenant je laisse faire, même quand je sais que j'adore quelqu'un, qu'on peut devenir proches, je reste en recul. Et le pire c'est qu'il n'y a pas d'explication type "j'ai trop souvent été blessée/déçue" parce que ce n'est pas vrai, ça ne m'est jamais vraiment arrivé je crois.
J'aimerais bien être de nouveau entièrement dans le moment. Dans ce que je fais. Tout vivre à fond. C'est un idéal de vie dont je me suis approchée, trop près peut-être, si bien qu'il ne m'intéresse plus. Classique. Mais rien n'est acquis et je devrais le noter en énorme sur mon ordinateur, mon miroir, mes petites culottes.
(Parfois je crois que Paris va tout résoudre, mais je ne devrais pas attendre, refouler, je dois accepter que tout ce qui ne va pas est en moi, et que ça ne se résolvera pas tout seul.)
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myna6738
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Tu peux aussi l'écrire sur ma culotte si tu veux Ca me serait bien utile aussi.
Après, on ne donne aux autres que ce qu'on veut bien donner, ce qu'on est prêt à donner surtout. Ce genre de choses viennent naturellement.
:*
Dis quelque chose bordel !
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Lissadell
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J'aimerais donner tellement mais je n'ose plus. En fait, c'est pire que ça : j'ai l'impression de n'avoir plus rien à donner, rien d'intéressant, d'être une coquille vide sans rien à partager. Comme si quelque chose m'avait vidée de toute substance. C'est triste. Moi qui me veux si pleine de vie.
Dis quelque chose bordel !
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myna6738
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Ca Tu sais que c'est faux. Si tu n'étais qu'une coquille vide, je ne m'intéresserais pas à toi. :)
Dis quelque chose bordel !
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Lissadell
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Alors il faut que je cherche en moi ce qu'il y a. Pour ne plus avoir cette impression. Et être plus en confiance. :)
Dis quelque chose bordel !
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à 18:06